ThÚmes du programme de Géographie, depuis 2016 ThÚme 1 Habiter une métropole Les métropoles et leurs habitants Cette carte mentale est à distribuer au format A4 à chaque élÚve et au format A3 en donnant une feuille par groupe. Le format A3 permet aux élÚves du groupe de co-construire une production au brouillon, puis de participer à la mise en commun. Programme de révision - Je dois mémoriser et comprendre les définitions de la leçon métropole, croissance urbaine, mobilités, - Je dois mémoriser et comprendre la carte mentale de l'étude de cas n°1,- Je dois mémoriser et comprendre la carte mentale de la leçon G6 n°2,- Je dois savoir situer la ville de Bombay,- Je dois savoir décrire et expliquer la vie des habitants dans une métropole à l'aide des cartes Les villes de demainProgramme de révision - Apprendre les définitions contrainte, atout, irrigation, nomadisme,- Relire trois fois la leçon G4 lisible ci-dessus pour les absents,- Relire le tableau des contraintes,- Relire le croquis de paysage. ThÚme 3 Habiter les littoraux Pratiquer différents langages. Placez les images satellites du bon coté d'un cÎté celles du littoral industrialo-portuaire et de l'autre celles du littoral touristique. ThÚme 4 Le monde habité Exercices d'entrainement pour l'évaluation de la leçon G1 La répartition de la population mondiale et ses dynamiquesProgramme de révision - apprendre les définitions de foyer de population et densité- apprendre la carte de la répartition de la population mondialeFonds de carte pour s'entraßner ou pour réviser Entraßnement n°1 Se repérer dans l'espace foyer de population et espace faiblement peuplé Entraßnement n°2 Se repérer dans l'espace foyer de population
Unmonde en feu : la Nasa dĂ©voile une carte mondiale des incendies. ActualitĂ© ClassĂ© sous : forĂȘt, satellite, incendie de foret. Lire la bio. CĂ©line Deluzarche Journaliste (1979 - 2021La rĂ©partition de la population mondiale et ses diffĂ©rentes formes d'occupation spatiale Tableau de bord du chapitre Diaporama du chapitre Documents utilisĂ©s lors du chapitre Les vidĂ©os de rĂ©vision du chapitre VidĂ©os diffusĂ©es en cours Pour aller plus loin Sites internet en lien avec le chapitre INEDL'Ined est chargĂ© d'Ă©tudier les problĂšmes dĂ©mographiques sous tous leurs aspects. Ce site vous donne accĂšs aux travaux de recherche de l'Ined, Ă des donnĂ©es chiffrĂ©es sur la population, Ă ... Jeux sur le chapitre LarĂ©partition de la population mondiale dĂ©pend de multiples facteurs. NĂ©anmoins, il existe plusieurs facteurs explicatifs. Par exemple, les contraintes naturelles limitent lâinstallation
Abattage pour la production agricole, exploitation forestiĂšre, feux de forĂȘt, urbanisation et agriculture itinĂ©rante, telles sont les cinq causes principales de la dĂ©forestation. Un phĂ©nomĂšne en progression dans le monde entier selon une Ă©tude amĂ©ricaine, parue dans la revue Science, qui prĂ©sente une carte mondiale de la dĂ©forestation, 50 000 km2 de forĂȘts, en moyenne, ont Ă©tĂ© perdus chaque annĂ©e dans le monde entre 2001 et 2015. Or la libĂ©ration de carbone lors des feux de forĂȘt et la diminution de la capacitĂ© naturelle des arbres Ă stocker ce puissant gaz Ă effet de serre participent Ă lâaugmentation du taux de CO2 dans l'atmosphĂšre. Stopper la dĂ©forestation est devenu lâun des enjeux majeurs des politiques climatiques. LâĂ©tude parue dans Science est la premiĂšre analyse sâintĂ©ressant aux causes de la dĂ©forestation au niveau mondial, explique Paul Leadley, Ă©cologue Ă lâuniversitĂ© Paris-Sud. Lâorganisation mondiale de lâalimentation FAO avait dĂ©jĂ Ă©tabli des cartes du mĂȘme genre, mais celles-ci se fondaient sur les statistiques, pas toujours fiables, fournies par les Ătats. Ici, les donnĂ©es proviennent dâimages satellitaires. » Parmi les prĂ©cĂ©dents modĂšles de reprĂ©sentation figure Ă©galement celui de la Global Forest Watch, une plateforme en ligne qui propose aux internautes une carte interactive de la dĂ©forestation. Mais les causes nây apparaissent pas. Pour rĂ©aliser cette carte inĂ©dite, les scientifiques amĂ©ricains ont identifiĂ©, grĂące Ă Google Earth, cinq profils types de paysages, quâils ont associĂ©s aux cinq grandes causes de dĂ©forestation. Puis un ordinateur a passĂ© au crible les forĂȘts de la planĂšte, via lâimagerie satellitaire, reliant chaque parcelle Ă lâun de ces profils. Un expert a ensuite vĂ©rifiĂ©, sur un Ă©chantillon reprĂ©sentatif, que la machine avait correctement effectuĂ© son travail. On y dĂ©couvre notamment lâampleur des pertes forestiĂšres liĂ©es Ă lâexploitation de lâhuile de palme et du cacao en Asie du sud-est. Une catastrophe Ă©cologique largement minimisĂ©e par les prĂ©cĂ©dents rapports », pointe Paul Leadley. LA DĂFORESTATION EN 5 CAUSES Analyse des causes de la dĂ©forestation, entre 2001 et 2015. En rouge, la part liĂ©e Ă lâindustrie agricole ou miniĂšre, Ă la construction, etc ; en jaune, celle due Ă lâagriculture itinĂ©rante ; en vert, Ă lâexploitation forestiĂšre ; en marron, aux feux de forĂȘt ; et, en bleu, Ă lâ DE © The Sustainability Consortium ; © 2018 universitĂ© des lâĂtat de lâArizona et universitĂ© de lâ % LâAGRICULTURE INTENSIVE, LâINDUSTRIE MINIĂRE, ETC. Les activitĂ©s agricoles, miniĂšres et, plus largement industrielles, sont les principales responsables de la dĂ©forestation mondiale. Il sâagit d'abattage non raisonnĂ©. La vĂ©gĂ©tation ne va donc pas se rĂ©gĂ©nĂ©rer », dĂ©plore Paul Leadley. En AmĂ©rique du Sud, les arbres sont abattus pour crĂ©er des zones de pĂąturage ; en Argentine et au BrĂ©sil, pour planter du soja, qui reprĂ©sente une source importante de nourriture pour le bĂ©tail sur le plan mondial. Certaines parties de la forĂȘt amazonienne sont Ă©galement exploitĂ©es Ă des fins dâextraction miniĂšre ou gaziĂšre. Toutefois, des mesures ont Ă©tĂ© prises, notamment par le BrĂ©sil, pour protĂ©ger les forĂȘts, souligne lâĂ©cologue cf notre reportage sur les zones de protection instaurĂ©es pour les tribus isolĂ©es dâAmazonie. En revanche, en Asie du Sud-Est, la dĂ©forestation liĂ©e Ă la culture du palmier Ă huile et du cacaoyer progresse depuis les annĂ©es 2000. Le phĂ©nomĂšne est dâautant plus inquiĂ©tant quâil affecte des points chauds de biodiversitĂ©. » Dans le cadre de lâobjectif zĂ©ro dĂ©forestation 2020 », lancĂ© en 2017 par LâONG Forest Trends, 450 entreprises agroalimentaires sâĂ©taient engagĂ©es Ă ne pas se fournir en cacao ou en huile de palme issus de zones dĂ©forestĂ©es dâAsie du Sud-Est. Mais cet objectif est loin dâĂȘtre atteint, soulignent les auteurs de lâĂ©tude. 26 % LâEXPLOITATION FORESTIĂRE Celle-ci concerne principalement lâEurope et lâAmĂ©rique du Nord. Elle est liĂ©e aux activitĂ©s de production de papier, de bois de chauffage ou de construction. Son impact est plus ou moins nĂ©faste, nuance le scientifique. Il dĂ©pend de la façon dont sont gĂ©rĂ©es les forĂȘts. En Europe, pratiquement toutes les parcelles boisĂ©es sont exploitĂ©es, mais en tenant gĂ©nĂ©ralement compte de la rĂ©gĂ©nĂ©ration de la vĂ©gĂ©tation. » Parmi les solutions possibles pour limiter les effets nĂ©gatifs de lâexploitation forestiĂšre, entreprises et consommateurs pourraient veiller Ă ne plus acheter de bois provenant dâexploitations non respectueuses de la nature. En France, les labels PEFC ou FSC certifient de la bonne exploitation de la forĂȘt. 24 % LâAGRICULTURE ITINĂRANTE Cette pratique agricole, utilisĂ©e surtout en Afrique et en Inde, consiste Ă cultiver une parcelle de forĂȘt, puis Ă la laisser en friche. Cette mĂ©thode de culture traditionnelle, qui utilise le brĂ»lis ou le paillis, est bien plus respectueuse de la vĂ©gĂ©tation que lâagriculture intensive, car elle permet Ă la forĂȘt de se rĂ©gĂ©nĂ©rer », commente Paul Leadley. 23 % LES FEUX DE FORĂT Une bonne part de la dĂ©forestation mondiale est liĂ©e aux incendies. Les forĂȘts borĂ©ales de Russie, du Canada et dâAlaska sont principalement affectĂ©es. Ces phĂ©nomĂšnes font partie de la rĂ©gĂ©nĂ©ration naturelle de ces forĂȘts », prĂ©cise Paul Leadley. Toutefois, les feux de forĂȘt progressent dans dâautres rĂ©gions du monde. LâAustralie, la SuĂšde et la cĂŽte ouest des Ătats-Unis ont connu cette annĂ©e des incendies spectaculaires. Sont-ils liĂ©s au rĂ©chauffement climatique ? Nous nâavons pas de certitude Ă ce sujet, mais nous pensons qu'il augmente la frĂ©quence et lâĂ©tendue des phĂ©nomĂšnes », rĂ©pond lâĂ©cologue de Paris-Sud. MOINS DE 0,6 % LâURBANISATION On entend souvent que cette derniĂšre cause est un facteur majeur de dĂ©forestation, mais, globalement, lâexpansion des villes ne se fait pas trop au dĂ©triment des forĂȘts », avance le scientifique. Les chercheurs ont montrĂ© que lâurbanisation Ă©tait responsable de moins de 1 % de la dĂ©forestation mondiale. La rĂ©gion la plus concernĂ©e lâAmĂ©rique du Nord, avec 2 % de forĂȘts abattues.
AnnĂ©e 1Ăšre et 2e annĂ©e; PrĂ©requis: lire une carte thĂ©matique, utiliser des repĂšres spatiaux Ă lâĂ©chelle de la Belgique (principales villes, RĂ©gions administratives, provinces, pays frontaliers, hydrographie).; 1. Contextualisation dans le parcours en EDM. La rĂ©partition de la population en Belgique est un facteur clĂ© pour comprendre la rĂ©partition des voies de
A partir des documents proposĂ©s, je rĂ©alise un croquis de la rĂ©partition de la population mondiale. Nous utilisons les questions proposĂ©es et les critĂšres de rĂ©ussite des badges Cartographe » et Mr/Mme Propre » pour nous guider dans la rĂ©alisation de notre travail. ETAPE 1 COMPLETER LE TEXTE DANS LA LĂGENDE A lâaide des documents et/ou de mes connaissances, je complĂšte les parenthĂšses dans la lĂ©gende. ETAPE 2 ASSOCIER UN FIGURĂ Ă CHAQUE ĂLĂMENT Pour chaque information qui apparait dans la lĂ©gende, je lui associe le figurĂ© dessin qui me semble le plus adaptĂ©. Si jâai besoin dâaide, je peux revoir cette vidĂ©o sur les figurĂ©s cartographiques. ETAPE 3 RĂALISER LE CROQUIS Ă partir des documents et dâun atlas virtuel ou papier, je SITUE proprement tous les Ă©lĂ©ments de la lĂ©gende sur le croquis. ETAPE 4 COMPLĂTER LA NOMENCLATURE Je NOMME proprement Les grands foyers de peuplement de la mĂȘme couleur que le figurĂ© choisi Les principaux dĂ©serts humains de la mĂȘme couleur que le figurĂ© choisi Les 10 villes les plus peuplĂ©es au monde de la mĂȘme couleur que le figurĂ© choisi Les ocĂ©ans en bleu. ETAPE 5 DONNER UN TITRE Je donne un titre adaptĂ© Ă mon croquis.Nousallons ressortir toutes les cartes dĂ©jĂ utilisĂ©es en CM (comme par exemple celle de la rĂ©partition de la population mondiale pour ce sujet) . Chaque fois quâon le pourra , nous passerons par des cartes agrandies et en
Des milliers de feux ravagent en permanence notre planĂšte. Des incendies qui n'Ă©pargnent aucun pays, riche ou pauvre, et qui sont souvent dus Ă des pratiques vous intĂ©ressera aussiLes milliers de points rouges affichĂ©s sur cette carte reprĂ©sentent chacun un incendie en cours. Cette image, captĂ©e le 22 aoĂ»t 2018 par les satellites de la mission Worldview, Earth Observing System Data and Information System EOSDIS se base sur la tempĂ©rature du sol enregistrĂ©e grĂące au rayonnement Ă ce que l'on pourrait penser, la plupart de ces impressionnants incendies sont volontaires. En Afrique, qui apparaĂźt clairement en rouge sur la carte, les fermiers les allument dĂ©libĂ©rĂ©ment pour se dĂ©barrasser de la vĂ©gĂ©tation afin de dĂ©gager le terrain pour de nouvelles cultures ou des pĂąturages. HĂ©las, si les incendies favorisent en effet la fertilisation du sol, ils dĂ©gradent gravement la qualitĂ© de l'air. Au BrĂ©sil, des milliers d'hectares de forĂȘt amazonienne partent ainsi chaque annĂ©e en fumĂ©e pour laisser place Ă l'Ă©levage de bovins et Ă l'extraction miniĂšre. Des incendies qui tournent souvent au dĂ©sastre par manque de contrĂŽle et qui sont responsables d'un tiers de 4,5 millions d'hectares de forĂȘt amazonienne partis en fumĂ©e en 2017 au BrĂ©sil, d'aprĂšs le Global Forest Watch. Cette pratique s'additionne Ă celle des feux de dĂ©charge, dans un pays oĂč la gestion de dĂ©chets est dĂ©faillante. SĂ©cheresse, chaleur, mauvaise gestion des forĂȘts, Ă©talement urbain le cocktail explosifDans les autres rĂ©gions du globe, les zones en rouge sont principalement dues aux incendies de forĂȘt. Le Chili, qui connaĂźt depuis plusieurs annĂ©es une sĂ©cheresse persistante et des tempĂ©ratures Ă©levĂ©es est particuliĂšrement touchĂ©. Les incendies sont aggravĂ©s par le fait que de nombreuses espĂšces natives ont Ă©tĂ© remplacĂ©es par des eucalyptus et des pins pour la production de bois et de papier. Or, leurs feuilles et Ă©pines contiennent des rĂ©sines hautement inflammables, qui propagent les flammes une fois tombĂ©es au sol, comme l'a rĂ©vĂ©lĂ© une Ă©tude publiĂ©e dans PLoS One, le 22 aoĂ»t dernier. L'Australie est elle aussi victime de graves incendies, favorisĂ©s par l'extension urbaine, et ce alors que nous sommes lĂ -bas en plein cartographie mondiale des incendies en temps rĂ©el grĂące aux satellitesArticle de l'ESA publiĂ© le 03/06/2006Depuis une dizaine d'annĂ©es, les satellites de l'ESA surveillent en continu les incendies dĂ©vastant la surface de la Terre. Ces donnĂ©es servent Ă Ă©tablir des cartes mondiales des incendies et les utilisateurs peuvent dĂ©sormais y accĂ©der en ligne - pratiquement en temps rĂ©el - par l'intermĂ©diaire de l'Atlas Mondial des Incendies ATSR de l' s'agit du premier atlas mondial rĂ©pertoriant les Ă©vĂ©nements sur plusieurs annĂ©es. Il fournit des donnĂ©es environ six heures aprĂšs leur acquisition et constitue une ressource scientifique importante car les incendies jouent un rĂŽle important dans la modification de l' des feux rĂ©pertoriĂ©s en 2005 Ă la surface du globe crĂ©dit ESA L'atlas est une ressource excellente donnant un nouvel aperçu de la Terre, jusqu'alors impossible Ă obtenir, et permettra certainement aux Ă©cologistes d'aborder des questions rĂ©centes et anciennes sur le rĂŽle des incendies dans la restructuration du monde naturel », a dĂ©clarĂ© Matt Fitzpatrick du DĂ©partement d'Ă©cologie et de biologie Ă©volutive de l'UniversitĂ© du de 50 millions d'hectares de forĂȘts brĂ»lent tous les ans et ces incendies ont des rĂ©percussions significatives sur la pollution atmosphĂ©rique mondiale, avec la combustion de la biomasse contribuant aux bilans globaux des gaz Ă effet de serre comme le dioxyde de carbone. Au cours de ces dix derniĂšres annĂ©es, les chercheurs ont compris qu'il Ă©tait important de surveiller ce cycle. De fait, les donnĂ©es de l'Atlas Mondial des Incendies sont gĂ©nĂ©ralement consultĂ©es dans le cadre d'Ă©tudes quantification des incendies est d'une grande importance pour les Ă©tudes actuelles sur les changements de climat. Par exemple, en 1998, El Niño a contribuĂ© Ă propager les incendies sur l'Ăźle de BornĂ©o qui ont dĂ©gagĂ© jusqu'Ă 2,5 milliards de tonnes de carbone dans l'atmosphĂšre, soit l'Ă©quivalent de la totalitĂ© des Ă©missions carboniques de l'Europe pendant cette mĂȘme de 200 utilisateurs enregistrĂ©s ont accĂšs Ă l'Atlas Mondial des Incendies. Les donnĂ©es sont utilisĂ©es en Europe, Asie, AmĂ©rique du Nord, AmĂ©rique du Sud, Afrique et Australie pour des Ă©tudes portant sur la chimie atmosphĂ©rique, les modifications d'utilisation des sols, l'Ă©tude des changements Ă©cologiques Ă l'Ă©chelle planĂ©taire, la prĂ©vention et la gestion des incendies ainsi que la Harvard, l'UniversitĂ© de Toronto, le Centre National pour la RechercheAtmosphĂšrique NCAR et la NASA, entre autres, ont utilisĂ© ces donnĂ©es dans des Ă©tudes qui ont fait l'objet de publications. Ă ce jour, plus de 100 communications scientifiques basĂ©s sur les donnĂ©es de l'Atlas Mondial des Incendies ont Ă©tĂ© les cartes, l'atlas indique l'heure, la date, la longitude et la latitude des points chauds. La base de donnĂ©es couvre les annĂ©es comprises entre 1995 et aujourd'hui, mais la couverture annuelle complĂšte a seulement commencĂ© en donnĂ©es de l'atlas s'appuient sur les rĂ©sultats des radiomĂštres Ă balayage le long de la trace de premiĂšre ATSR et seconde gĂ©nĂ©ration AATSR, qui ont Ă©tĂ© lancĂ©s sur les satellites de l'ESA ERS-2 en 1995, et Envisat en radiomĂštres jumeaux font office de thermomĂštres du ciel en mesurant le rayonnement infrarouge thermique pour prendre la tempĂ©rature superficielle des terres. La dĂ©tection des incendies est meilleure la nuit, lorsque les terres environnantes sont plus fraĂźches. Les tempĂ©ratures supĂ©rieures Ă 312Âș K 38,85 ÂșC sont classĂ©es comme Ă©tant des incendies par les ATSR/AATSR, qui sont capables de dĂ©tecter un feu aussi minime que les torches de sites industriels en raison de leurs tempĂ©ratures par ce que vous venez de lire ?
En2020, prĂšs de la moitiĂ© de la population mondiale Ă©tait exposĂ©e au risque de paludisme. Au sein de la population, certains groupes sont bien plus exposĂ©s au risque de contracter la maladie et de dĂ©velopper une affection sĂ©vĂšre : les nourrissons, les enfants de moins de 5 ans, les femmes enceintes et les personnes vivant avec le VIH/sida, ainsi que les DonnĂ©es 18 septembre 2020 - Reproduction interditeLes 47 millions de millionnaires en dollars possĂšdent 44 % de lâensemble du patrimoine privĂ© mondial, selon le CrĂ©dit suisse. Les inĂ©galitĂ©s de patrimoine se rĂ©duisent, mais les grandes fortunes restent trĂšs majoritairement occidentales. 47 millions de personnes dans le monde possĂšdent un patrimoine biens immobiliers et financiers dâau moins un million de dollars [1] selon les estimations du CrĂ©dit Suisse donnĂ©es 2019. Ils reprĂ©sentent Ă peine 1 % de la population mondiale et dĂ©tiennent 44 % de lâensemble des richesses privĂ©es du monde. Pour appartenir Ă la tranche des 10 % les plus fortunĂ©s du monde, il faut possĂ©der au moins 100 000 dollars, soit environ 90 000 euros par personne ou 180 000 euros pour un couple. Un couple français qui possĂšde un logement dâenviron 70 m2 dans une ville comme Tours, et qui a fini de rembourser ses emprunts, se situe ainsi parmi les 10 % les plus fortunĂ©s du monde. Les 550 millions dâadultes concernĂ©s Ă lâĂ©chelle de la planĂšte dĂ©tiendraient 83 % du patrimoine mondial. Mais la grande majoritĂ© de la population mondiale adulte trois milliards de personnes, possĂšde moins de 10 000 dollars 9 000 euros, voire beaucoup moins. Ă eux tous, les 57 % dâhabitants les moins dotĂ©s de la planĂšte dĂ©tiennent moins de 2 % du patrimoine privĂ© mondial. RĂ©partition du patrimoine mondial selon le niveau de patrimoine Nombre d'adultes en millionsPart dans la population en %Part dĂ©tenue dans le patrimoine mondial Patrimoine supĂ©rieur Ă 1 million de dollars470,943,9Patrimoine compris entre 100 000 et 1 million de dollars4999,838,9Patrimoine compris entre 10 000 et 100 000 dollars1 66132,615,5Patrimoine infĂ©rieur Ă 10 000 dollars2 88356,61,8Ensemble de la population adulte5 090100100Patrimoine net par adulte, endettement dĂ©duit. Lecture 47 millions dâadultes possĂšdent un patrimoine supĂ©rieur Ă un million de dollars. Ils reprĂ©sentent 0,9 % de la population mondiale et dĂ©tiennent 43,9 % de lâensemble du patrimoine mondial. Source CrĂ©dit suisse â © Observatoire des inĂ©galitĂ©s Les inĂ©galitĂ©s mondiales de patrimoine se sont lĂ©gĂšrement rĂ©duites entre 2000 et 2019. La part du patrimoine mondial dĂ©tenue par les 10 % les plus nantis a reculĂ© de 89 % Ă 82 % pendant cette pĂ©diode, toujours selon les estimations de la banque dâinvestissement suisse. Lâindice de Gini [2] des patrimoines est passĂ© de 0,919 Ă 0,885. Des populations dotĂ©es dâune richesse situĂ©e entre 10 000 et 100 000 dollars, apparaissent dans les pays Ă©mergents. Attention tout de mĂȘme au cours des dix derniĂšres annĂ©es, la part du patrimoine mondial que possĂšde le 1 % le plus fortunĂ© est remontĂ©e, passant de 41,7 % en 2008 Ă 45 % en 2019. Les grandes fortunes des pays les plus riches, favorisĂ©es notamment par les cours de la bourse, ont ainsi rĂ©cupĂ©rĂ© une bonne partie du terrain quâelles avaient perdu entre 2000 et 2008 [3]. Ces donnĂ©es frappent lâopinion, mais doivent ĂȘtre utilisĂ©es avec prĂ©caution. Dâabord parce 10 % de la population mondiale survit toujours avec moins dâ1,90 dollar par jour environ 1,70 euros. De plus, la tranche de patrimoine dâune valeur de 0 Ă 10 000 dollars mĂ©lange des populations dont la situation nâest guĂšre comparable, des trĂšs pauvres et des jeunes plus favorisĂ©s mais endettĂ©s ou qui nâont pas encore pu Ă©pargner. Ensuite, la notion de patrimoine net endettement dĂ©duit est critiquable. Un mĂ©nage français qui sâendette pour acheter une maison possĂšde un patrimoine net Ă©gal Ă zĂ©ro, pas plus quâun sans-abri. Enfin, il ne faut pas perdre de vue que les donnĂ©es du CrĂ©dit suisse reposent sur des estimations, en particulier pour les pays oĂč le systĂšme statistique national manque de fiabilitĂ©. MĂȘme avec la plus grande rigueur dans les calculs, la valeur des biens est difficilement comparable Ă lâĂ©chelle mondiale une maison dans la banlieue de Paris et une autre situĂ©e Ă Dakar peuvent avoir la mĂȘme surface, le mĂȘme Ă©quipement, bref, apporter le mĂȘme confort Ă ses habitants, mais elles sont valorisĂ©es Ă des prix de marchĂ© qui nâont vraiment rien Ă voir entre eux. Les indicateurs dâinĂ©galitĂ©s mondiales de patrimoine ne peuvent fournir que des ordres de grandeur. Pour autant, ils tĂ©moignent de lâextrĂȘme concentration des richesses aux mains dâune infime minoritĂ© de la population. LâĂ©mergence de nouveaux riches dans les pays du Sud ne doit pas faire oublier que la misĂšre persiste pour des centaines de millions de personnes dans les pays Ă©mergents et en dĂ©veloppement. Et que lâaccumulation dâimmenses fortunes reste quasi-exclusivement rĂ©servĂ©e Ă une poignĂ©e dâhabitants des pays riches dâEurope et dâAmĂ©rique du Nord. Une classe mondiale de millionnaires ? Les pays pauvres et les pays Ă©mergents ont aussi leur classe fortunĂ©e, voire trĂšs fortunĂ©e. Les Chinois aisĂ©s composent dĂ©sormais la majoritĂ© de la classe moyenne du patrimoine mondial » qui possĂšde entre 10 000 et 100 000 dollars. Au sommet de la pyramide des patrimoines, le club des millionnaires sâest mondialisĂ©. Ses membres ont en commun des investissements sur les marchĂ©s mondiaux et une consommation de luxe qui se ressemblent. Mais les EuropĂ©ens et Nord-AmĂ©ricains restent largement dominants en nombre 40 % des millionnaires du monde vivent aux Ătats-Unis. Le Japon 6 % des millionnaires du monde sâest fait doubler par la Chine 10 %. Les autres pays de rĂ©sidence des millionnaires demeurent des pays riches dâEurope occidentale, le Canada et lâAustralie. Photo/ © xy - [1] Patrimoine net dettes dĂ©duites par adulte. Un million de dollars correspond Ă environ 900 000 euros.[2] Lâindice de Gini est un indicateur dâinĂ©galitĂ©s qui tient compte de la distribution des patrimoines entre les individus. Plus la rĂ©partition est Ă©galitaire, plus lâindice est proche de zĂ©ro. Plus elle est inĂ©galitaire, plus il est proche de 1. Voir Global wealth databook 2019, CrĂ©dit Suisse, 2019.[3] Le 1 % le plus fortunĂ© possĂ©dait 46,9 % du patrimoine mondial en 2000, selon le CrĂ©dit suisse.- ĐŐžÖŃĐ”ĐœÎ”Đ± ĐžŃÏжΞÖĐŸŃáčá ŃÏολΔгΔŐčĐ”Đč
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Cettecarte montre, outre la densité de population, les 318 villes (Source Natural Earth) illustrées par un petit cercle vert dans lesquelles vivent plus d'un millions de personnes (lorsque les villes sont trop proches les unes des autres, il se peut que leurs noms n'apparaissent pas tous). L'inde et la Chine ont non seulement une forte densité globale de population, mais aussi de
OĂč vivent les 6,85 milliards d'hommes qui peuplent la terre ? Pourquoi certaines rĂ©gions sont-elles presque vides et d'autres trĂšs peuplĂ©es ?I. Les grands contrastes de peuplementâą La population mondiale est rĂ©partie de façon trĂšs inĂ©gale. Certains espaces sont vides ou trĂšs peu peuplĂ©s on parle de dĂ©serts humains ; Antarctique, nord de l'Eurasie, SibĂ©rie, nord du Canada, Alaska, Sahara, Arabie, Kalahari, Australie, Amazonie, Nouvelle-GuinĂ©e.âą D'autres espaces sont trĂšs densĂ©ment peuplĂ©s. Trois principaux foyers de population rassemblent ainsi prĂšs de la moitiĂ© des hommes sur Terre le foyer Asie orientale 1,5 milliard d'habitants, le foyer Asie centre-sud 1,7 milliard d'habitants, le foyer Europe 740 millions d'habitants.âą Des foyers secondaires, plus petits, apparaissent en AmĂ©rique le Nord-Est amĂ©ricain et la rĂ©gion des Grands Lacs, le bassin de Mexico, le littoral compris entre Rio de Janeiro et Sao Paulo et en Afrique la vallĂ©e du Nil, le golfe de GuinĂ©e et la rĂ©gion des Lacs africains.II. Comment expliquer ces vides et ces pleins ?1. Le rĂŽle des conditions naturellesLes vides les plus importants l'Arctique, l'Antarctique, le Sahara, l'Australie correspondent Ă des milieux aux fortes contraintes naturellesâą Les milieux froids polaires sont les rĂ©gions les moins peuplĂ©es le sol, gelĂ© en permanence, empĂȘche toute forme d'agriculture, les tempĂ©ratures trĂšs basses rendent l'habitat difficile.âą Les milieux dĂ©sertiques chauds ou froidssont Ă©galement peu occupĂ©s le manque de pluie et la forte chaleur durant la journĂ©e limitent les activitĂ©s des hommes. Seules font exception les oasis.âą Le rĂŽle du relief est plus difficile Ă dĂ©finir. De hautes montagnes tempĂ©rĂ©es comme les Alpes sont gĂ©nĂ©ralement peu peuplĂ©es mais des chaĂźnes tropicales comme les Andes prĂ©sentent une densitĂ© de population Ă©levĂ©e. Cependant les hommes se sont gĂ©nĂ©ralement installĂ©s dans les plaines, dans les vallĂ©es le long des fleuves et sur les Le rĂŽle des techniquesâą Si les hommes se sont installĂ©s en prioritĂ© lĂ oĂč l'agriculture Ă©tait possible, ils ont souvent rĂ©ussi Ă dominer les contraintes de leur milieu dĂ©veloppement de l'agriculture irriguĂ©e dans les dĂ©serts chauds, par exemple. La rĂ©partition de la population dĂ©pend donc aussi des techniques employĂ©es.âą Dans une Ă©conomie traditionnelle oĂč l'agriculture est la principale activitĂ© des hommes, la maĂźtrise des techniques agricoles explique souvent les diffĂ©rences de densitĂ©. Ainsi la culture inondĂ©e du riz permet, en Asie, de nourrir une dizaine d'hommes Ă l'hectare quand la culture traditionnelle du blĂ© en Europe ne nourrissait que cinq personnes.âą Aujourd'hui, la carte du peuplement de la terre a conservĂ© la marque de ces diffĂ©rences les densitĂ©s asiatiques restent les plus Le rĂŽle de l'histoireâą Les migrations, enfin, interviennent dans la rĂ©partition de la population. Depuis le XVIIIe siĂšcle, elles ont permis de peupler de vastes espaces jusque-lĂ quasiment vides les Ătats-Unis, la SibĂ©rie, l'Australie.âą De mĂȘme, la traite des esclaves noirs, du XVIe au XIXe siĂšcle, a conduit en AmĂ©rique des millions d'Africains, vidant des rĂ©gions entiĂšres d'Afrique occidentale.âą Les rĂ©volutions agricoles et industrielles du XIXe siĂšcle ont favorisĂ© la croissance et la concentration des populations en Europe et sur la cĂŽte nord-est des Ătats-Unis. Actuellement la peste comme problĂšme de santĂ© publique concerne principalement trois continents : lâAfrique, lâAmĂ©rique et lâAsie. Voici la liste des pays ayant notifiĂ©, entre 2010 et 2015, des cas de peste par continent dans le monde, selon lâOMS, selon lâordre dâimportance des cas humains notifiĂ©s (WHO 2016).A- La rĂ©partition de la population dans le monde. Par la commande "Fichier\CrĂ©er une carte\GĂ©ographie\Monde", choisir la sĂ©rie "Population totale des Etats en 1994".Choisir "carte par figurĂ©s ponctuels", cercle plein, couleur de votre choix, taille du figurĂ© Ă 45-50